Le choix du nom a fait débat mais le vote a été franc (429 voix pour, 225 contre, 19 absentions). Mais qu’est-ce que ce vote va changer ?
Un vote qui tombe à point
Ce vote du 28 novembre dernier intervenait après la décision de déclarer l’urgence climatique à un niveau national (ce qui a été le cas en France, au Royaume-Uni ou en Autriche) et visait à maintenir la pression sur les pays à l’approche de la COP 25.
Un nom qui fait débat
Certains parlementaires ont eu peur que le nom « d’urgence climatique » ne sème la panique. Nous sommes pourtant devant l’urgence d’agir : pour que le réchauffement climatique ait un impact minimal sur la planète, il ne faudrait pas dépasse 1,5 à 2 °C. Or, les nouvelles prévisions tablent sur 5 à 7 °C d’augmentation à la fin du siècle. Le temps ne semble donc plus aux débats sémantiques mais aux actions concrètes et coordonnées.
Source : France Info. Visuel : wikipedia.