L’Assemblée nationale a adopté, en 2018, un amendement proposant d’expérimenter des plats sans viande au moins une fois par semaine dans les cantines. Parallèlement, de nombreux départements privilégient les aliments bio et issus de filières durables.
Du vert dans l’assiette
Cette expérimentation aura sans doute de nombreux bienfaits :
• Varier les menus et faire (re)découvrir l’immense variété de légumes aux enfants
• Lutter contre l’idée reçue que les protéines ne se trouvent que dans la viande
• Participer à la lutte contre l’obésité et contribuer à une meilleure santé
Bio et durable au menu
Parallèlement, en mai 2018, l’Assemblée a donné son feu vert pour viser un objectif d’au moins 50 % de produits issus de l’agriculture bio ou tenant compte de l’environnement dans la restauration collective publique d’ici à 2022.
De nombreux départements ont pris des devants, comme les Hauts-de-Seine, avec un taux d’aliments bio de 20 % minimum (à Boulogne-Billancourt, Suresnes, Nanterre, Montrouge), jusqu’à 50 % de bio et 60 % de durable (à Issy-les-Moulineaux), et même 67 % de durable à Antony.
Source : Le Parisien / Visuel : Pixabay